Mise à jour : Dimanche 12 janvier 2014 / Vendredi 10 janvier 2014.

Déces du motard Belge Eric Palante :

Communiqué officiel de ASO Dakar :

 

Communiqué spécial : Décès d'Eric Palante 

A 8h30 ce matin alors que l'équipage du camion balai se portait sur la position du motard 122 afin de le récupérer, au km 143 de la spéciale de la 5ème étape entre Chilecito et San Miguel de Tucuman, il a découvert le corps sans vie d'Eric Palante, pilote belge de la moto n.122.

Les circonstances et les causes du décès sont analysées par le fiscal subrogante en Feria (juge) Doctora Analia Castro de Massucco de Belen, province de Catamarca.
 
Aucune alerte n'est parvenue auprès des organisateurs. Eric avait été ravitaillé en eau dans l'après-midi. 

La famille du pilote a été prévenue dans la matinée par l'organisation.
Eric Palante, 50 ans participait à son 11ème  Dakar avec l'ambition cette année de remporter le classement malles-motos. Il connaissait parfaitement l'épreuve, pour laquelle son enthousiasme et son sérieux en avait fait au fil du temps l'un des piliers. 
C'est avec une profonde tristesse que les organisateurs et toute la famille du Dakar présentent leurs condoléances aux proches et aux amis d'Eric.

Video : Eric Palante cette année comme durant le Dakar 2013, a participé à la course avec le dossard 122. Quelques images de lui lors du Dakar 2013.

Un livre d'or :

Un livre d'or a été ouvert à l'administration communale de Donceel où habitait le pilote liégeois Eric Palante pour permettre à ceux qui le désirent de manifester à la famille et aux proches du pilote un message de soutien et d'encouragement, a indiqué dimanche 12 janvier 2014 le site du pilote liégeois.

Le livre d'or sera accessible à l'administration communale de Donceel (4, Rue Caquin) de 10h00 à 12h00 ces lundi 13, mercredi 15, jeudi 16 et vendredi 17. Décédé jeudi sur la piste du Dakar en Argentine, Eric Palante serait mort d'hyperthermie, selon les premiers éléments de l'autopsie. Il aurait connu une élévation anormale de la température corporelle. Les conditions extrêmes et l'état de fatigue intense du pilote auraient empêché un refroidissement du corps par la transpiration. Lors de cette étape, les conditions étaient extrêmes. Eric a certainement senti ses forces l'abandonner et il s'est arrêté pour se reposer. Il était à genou à côté de sa moto, il portait son casque et tout son équipement. Peut-être son état ne lui permettait-il déjà plus de prendre une bonne décision.

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