Le Rosedal de Palermo à Buenos Aires
20 sept. 2024Dernière mise à jour : 20 septembre 2024 / 30 novembre 2014 / 22 juillet 2011. Catégorie : Buenos Aires
Article écrit par Thomas Lemoine et Hergé.
La Roseraie de Buenos Aires :
"...Tout progrès de la ville, nécessite des promenades et des parcs qui permettent d’exposer la culture et le bon goût, et il a été décidé de créer une Roseraie dans lequel on pourrait rencontrer et réunir la flore la plus belle et la plus variée collection de cette fleur… " Ce texte est extrait des mémoires des travaux entrepris par la Direction Générale des Espaces de la Ville de Buenos Aires en 1914.
La difficulté fut de trouver un endroit idéal, d’accès facile, et surtout dont son dessin permettrait de donner une idée la plus exacte possible de ce genre de collection. Par bonheur le choix se porta sur un emplacement qui fait que la "Roseraie" de Buenos Aires est placée dans un endroit et sur un terrain que peu d’autres villes ont pu offrir à un parc.
Comme toujours, n’hésitez surtout pas apporter votre pierre à l’article si vous vous apercevez d’un oubli, ou pire d’une erreur, en écrivant en dessous un commentaire, en prenant contact avec moi par mail à petitherge@hotmail.com ou sur FB : https://www.facebook.com/petit.herge
Enfin sachez que si vous désirez que je vous accompagne sur place pour visiter le Rosedal, c’est possible aussi !
Photo ci dessus : El Templete. Petit Herge 17 octobre 2014.
Photos : Le Rosedal de Buenos Aires. 17 octobre 2014. Photos Petit Hergé.
Sur les terres de Juan Manuel de Rosas :
En 1836, le terrain sur lequel se trouve le Rosedal est inculte (souvent inondé) et abandonné et Don Juan Manuel de Rosas les achète pour y faire construire sa résidence d’été. Il fait entreprendre de suite la construction de son palais qui s’achève en 1838 peu avant le décès de son épouse. C’est Rosas qui donna le nom de Palermo à sa propriété, le nom provenant probablement d’une chapelle montée dans les alentours dédié à San Benito de Palermo. Sur les documents de propriété de sa propriété figure le nom de Palermo de San Benito.
A partir des années 1840, d’autres demeures furent construites aux alentours et la population de la zone augmenta, et on ne tarda plus à désigné d’un simple « Palermo » toute cette campagne située alors en dehors de Buenos Aires.
Suite à quelques « différents » politiques, entre autre la défaite de Rosas à la bataille de Caseros du 3 février 1852, à la fin de laquelle il se refugiât dans l’ambassade d’Angleterre et fuit en Europe, sa propriété est confisquée par le nouveau gouvernement. Elle resta debout jusqu'en 1899, quand le Président Roca décida de la faire voler avec de la dynamite.
Photo ci dessus : Une des rares photos du Palais de Roca datant de 1895, 4 ans avant sa démolition.
El Parque Tres de Febrero :
Il faut attendre plus de vingt ans, pour que sous l’impulsion du président de la République Domingo Faustino Sarmiento, soit votée une loi le 27 juin 1874 pour transformer ses terrains (appartenant à l’Etat) en parc.
L’ancienne propriété de Rosas est nommée « Parque Tres de Febrero » en mémoire à la bataille qui mis fin à son pouvoir dans le pays.
Il est décidé de créer dans ce parc, une réserve de tous les animaux vivant en Argentine, un musée regroupant les pièces de paléontologie, ainsi qu’un parc regroupant toutes les espèces botaniques existantes sur le sol de la Nation.
La réserve d’animaux deviendra rapidement « El Instituto Zoológico de la Nacion », qui se transformera ensuite en zoo de Buenos Aires (transformé depuis 2018 en "Eco-parque"), le parc regroupant les espèces botaniques deviendra « El Instituto botánico de Palermo » (toujours existant au même endroit), quant au reste du parc au fil des années il s’étendra vers les berges du Rio de la Plata. Les zones marécageuses seront peu à peu comblées, plantées d’arbres et tracées d’avenues.
Le 11 novembre 1875 on inaugure en grandes pompes le « Parque del 3 de Febrero » en présence du président de la République Nicolás Avellaneda. C’est ce qu’on nomme la 1ère section du parc. En février 1888, le parc passe sous l’autorité de la ville de Buenos Aires.
Vidéo : Le Rosedal filmé par un drone en septembre 2014. 5 mn 14 s.
Le rêve du Maire de Buenos Aires, Joaquin Samuel Anchorena :
Le maire de Buenos Aires Joaquín Samuel Anchorena était avocat mais a toujours été un homme passionné par la botanique jusqu’à devenir enseignant à "l’Instituto Superior de Agronomía y Veterinaria" dès 1904. En 1908 Il y fait d’ailleurs la connaissance de Benito J. Carrasco qu’il fera ensuite travailler sur le projet du Rosedal.
C’est le donc le maire, qui en 1910 lorsqu’il occupe son nouveau poste, demande la création une roseraie. Il se tourne tout naturellement vers Charles Thays qui depuis 1891 est le "Director de Parques y Paseos de Buenos Aires".
La réputation du français n’est plus à faire, depuis plus de 10 ans, c’est lui qui a à Buenos Aires mais aussi dans les plus grandes villes du pays dessiné la majorité de tous les espaces verts. 80 jardins et parcs uniquement dans la ville de Buenos Aires !
Toujours aussi ingénieux le français, si aujourd’hui le Rosedal possède un lac, s’est parce qu’il fallut chercher de la terre le plus proche possible pour monter un remblai pour y faire passer la ligne de chemin de fer (toujours inondée) qui reliait la gare de Retiro. La ligne de chemin de fer surélevée existe toujours et passe à 100 m du lac.
Une conversation de 1913 retranscrite entre l’écrivain et diplomate Enrique Gómez Carrillo et Anchorena montre l’intérêt du maire sur ses projets de parcs et jardins voulant rivaliser avec ceux de Paris :
"Debout sur un banc en pierre, le maire Anchorena m’explique ses projets. Pendant que l’homme parlait, moi je le regardais et je ne pouvais m’empêcher de le considérer comme un symbole.
Malheureusement, ajouta le maire en descendant de son banc, il n’est pas possible d’aller aussi vite que l’on voudrait. Maintenant dans le centre, les avenues Diagonales, qui doivent servir à décongestionner la City et à rompre la monotonie d’un plan colonial en damier, est ce qui me préoccupe le plus. Mais en même temps nous avons d’autres projets… Un des chantiers les plus importants que nous avons commencé l’année dernière est le jardin à la française dans le Parque Tres de Febrero. Nous avons dû surélever le sol par endroit de deux mètres lors de l’élargissement de l’Avenida Alvear (Aujourd’hui Avenida Libertador), qui est notre Avenue des Champs Elysées.
Las bas, s’exclama le maire, en étendant son bras vers le nord, las bas, face à l’Avenida de los Lagos, nous avons réservé quatre hectares pour faire une Roseraie (en français dans le texte) ! Ah, ce n’est pas la Malmaison, non ! A peine dix à douze milles roses plantées classiquement, et au milieu desquelles je repartirai quelques œuvres d’art qui doivent bientôt arriver d’Europe… Vous connaissez Bourdell ?
C’est le plus grand sculpteur après Rodin, lui répond-y je.
Bon! S’exclama-t-il d’un air ingénu...tant mieux ! … C’est justement de Bourdell que nous attendons quelques sculptures….Les jardins, les fleurs, ça m’intéresse beaucoup …."
Benito J. Carrasco étudie à la "Facultad de Agronomía de la Universidad Nacional de la Plata" puis fut professeur al "Instituto Superior de Agronomía y Veterinaria" de Buenos Aires pour ensuite commencer à travailler pour la municipalité sous les ordres de Charles Thays.
Le 16 janvier 1914, il le remplacera et deviendra à son tour directeur des parcs de Buenos Aires.
Il faut démolir le Pavillon de Mendoza de l'Expo de 1910 pour laisser place à la Roseraie de Palermo.
Photo : Vue du "Pont Grec" vers les bassins. Photo Petit Hergé. 14 octobre 2014.
Ci dessous la même vue en 1914.
1914 : Les travaux de la Roseraie :
Les travaux de la Roseraie sont lancés le 5 mai 1914 et terminés le 22 novembre de la même année. En l'espace de seulement six mois et demi, le parc est terminé incluant la démolition du pavillon de la province de Mendoza, qui occupait le terrain.
Le chantier est très important pour l’époque et demande une très nombreuse main d’œuvre à apporter sur place. Pour élever le niveau du sol et construire les allées et les jardins ont été utilisés 15.097m3 de terre pour rehausser le niveau du sol, 974m3 de terre arable pour préparer les parties plantées, 981 m3 de compost pour planter les rosiers et 3530m3 de poussière de brique pour former les allées. La Roseraie est inaugurée le 24 novembre 1914.
Anchorena n’est malheureusement plus le maire et ne peut y assister, il démissionne un mois avant, le 25 octobre.
Infographie : Vue en perspective des jardins du Rosedal de Buenos Aires. (2011).
Le Patio Andaluz :
Au sud du jardin, on peut admirer un très beau patio andalou, cadeau de la ville de Séville en 1929.
En fait l’architecte français Jean C. Forestier est contacté en 1924 par la ville de Buenos Aires pour faire une évaluation des modifications à apporter aux parcs de la ville. Ce travail fait partie de tout un plan régulateur mis en place par la ville. Le français ne devant s’occuper que des espaces verts. Lorsque Jean C. Forestier débarque à Buenos Aires en 1924, il y reste un mois, et le Directeur des parcs et jardins, Charles Thays l’accompagne dans ses visites et lui remet tous les dossiers y compris les projets restés à l’état d’études. L’Architecte doit à la fois s’occuper des parcs déjà existants et des projets de nouveaux parcs à l’étude.
Ce n’est qu’une fois de retour à Paris, qu’il se met à plancher sur différents types de projets et travaille sur un "Jardin Espagnol" à placer dans le Parque Avellaneda. Le projet est adopté par la ville de Buenos Aires, mais pour des sombres histoires de budget, le jardin ne voit jamais le jour et reste dans les cartons !
C’est en 1929, que le projet refait surface quand la ville de Séville veut faire don d’un monument à la ville. Buenos Aires lui ressort le projet, Séville accepte et finance les travaux ! Le Jardin Espagnol prend le nom de Patio Andalou (plus petit que le projet initial) et se place au sud du Rosedal, à l’emplacement d’une Confiteria que l’on nommait sous le nom de El Pabellón de los Lagos, vestige de l’Exposition Industrielle de 1910. On la démolira pour y placer le Patio.
Le Patio est une galerie surélevée couverte d’une pergola entourant un bassin et une fontaine auquel on accède en descendant un des quatre petits escaliers placés sur chaque côté. Le tout est recouvert d’azulejos (céramique bleutée). Sur la base du bassin on peut lire : "A la caballerosa y opulenta Ciudad de Buenos Aires en testimonio y comunicación espiritual, Sevilla ofrece esta muestra de la industria de Triana, el barrio de los laboriosos alfareros y de los intrépidos navegantes". Il a été entièrement restauré en 2008.
L’abandon et la renaissance du Rosedal :
Au fil des années, le Rosedal tombe dans l’oubli, les éléments architecturaux se détériorent, les pelouses se convertissent en terrain de foot, et les rosiers ne sont qu’un vague souvenir des Porteños les plus anciens. Un décret est même publié en 1992 des autorités municipales pour interdire aux chauffeurs de taxis, "remiseros" et autres conducteurs de bus de venir laver des pièces motrices dans le patio Andalou et de s’en servir comme atelier mécanique de réparation !
Première restauration du parc en 1994, on ferme le jardin, et avec l’aide des fonds de l’entreprise pétrolière YPF, la ville de Buenos Aires met deux ans à remettre en l’état la Roseraie en essayant grâce aux documents d’archive de redonner au parc la même physionomie que celle du jour de l’inauguration de 1914. Le 03 Juin 1996, on rouvre les grilles pour une nouvelle inauguration !
Deuxième étape de restauration, l’année 2008, où on entreprend de sauver la Pergola et le Patio Andalou. Aujourd’hui c’est chose faite et le jardin n’a jamais été aussi beau.
Enfin la dernière étape de restauration eut lieu en 2017 avec la rénovation totale du pont grec.
Le Rosedal aujourd’hui :
Le Rosedal est donc placé dans la seconde section du Parque del 3 de febrero, anciennement occupé comme on a vu par quelques pavillons de l’Exposition Industrielle du Centenaire. Au nord et à l’est-il est bordé par un lac artificiel, lui-même bordé par l’Avenida de los Lagos. Au sud et à l’est de grands groupes d’arbres enveloppent la roseraie et la coupe visuellement du reste du bois.
Le Rosedal a une surface de 34.040 m2 (un peu plus de 3 hectares), et dessiné en partie comme un jardin à la françaises à partir de son entrée principale. Puis vers le lac et le pont qui enjambe un bras du lac, il s’apparente plus à un jardin à l’anglaise, quant en son extrémité sud, la ville de Seville lui offrit en 1929 un jardin hispano - mauresque agrémenté d’un patio andalou. C’est donc un parc qui alterne les compositions paysagistes les plus diverses tout en préservant le thème floral dominant des roses.
Les variétés de roses, au nombre de 1189 pour être exact, ont été dûment répertoriés (alphabétique et numérique). Chaque plante a son nom dans des tubes de verre, représentant toutes les créations de rose de 1910 jusqu'à ce jour. Peut-être quelques-uns de ces plus beaux exemples sont la Yonkheer J.L. Mock d’un rose pâle, La Mad Ed Herriot, jaune légèrement rosé, avec tache rouge, La Earl of Gosford, rouge sombre, La Killarney et Mad, La Jules Gravereaux, rose pâle, La Little Dorrit, jaune crème, bordée de rouge sang, La Verna Mackay et La Salmon Richmond, espèces très fleuries, La British Queen que l’on considère comme l'une des plus belles roses blanches, La Marie Adelaide von Luxembourg, grande fleur orange obscure, La Sunburst, La Soleil d'Or et la Rayon d'Or, aux nuances variées en jaune, La Willowmere au bourgeon allongé, fleur grande, rouge orangé, La Double Pink Killarney, de teinte rose pale, La Frau Karl Druschki, aussi appelée "Reine des Neiges" toute blanche.
En longeant le lac par le coté Nord-Est, c’est une élégante pergola d’un style grec, qui s’offre à nous sur 130 mètres de long et recouverte sur ses 526 m2 de mosaïque au sol. Depuis 2008, YPF et la ville de Buenos Aires entreprirent une importante restauration de cet ensemble.
À l'autre extrémité un petit temple de 17m2 orne le jardin. Enfin l'axe de l'avenue centrale du jardin amène le promeneur à l'extrémité nord où se trouve un pont aussi à l’architecture (pseudo) grecque qui aujourd’hui est la figure la plus emblématique du jardin. Il permet de passer de l’autre côté du lac et d’emprunter l'Avenida de los Lagos.
D’autres éléments décoratifs comme un autre pont menant à une petite ile et un ponton en bois sur le côté nord finissent d’enjoliver l’ensemble.
Le tout est extrêmement bien entretenu, et il est même formellement interdit de marcher sur les pelouses. Un coup de sifflet retentit pour rappeler aux distraits de rejoindre au plus vite les allées.
Le jardin des poètes :
L’endroit compte 93 espèces de roses répertoriés et classées selon le meilleur parfum, la plus belle couleur … Ce sont 12.000 roses qui chaque année éclosent et elles ne fleurissent pas en hiver mais à partir d’octobre … n’oubliez pas que nous sommes dans l’hémisphère austral.
Il a pourtant une autre originalité à découvrir dans cette roseraie, c’est qu’au fil du temps Alfonso Reyes, Dante, Jorge Luis Borges et William Shakespeare s’y croisent puisque la ville y a disposé peu à peu leurs bustes (aujourd'hui au nombre de 26), et une partie même du parc se nomme le « jardin des poètes ».
Depuis 2019, la Roseraie est devenue aussi le lieu le plus fréquenté pour faire les photos officielles des mariages mais aussi les cérémonies. Apres autorisations donnée par la ville de Buenos Aires, une centaine de couples s’y disent « oui » chaque année. Alors ne vous étonnez pas de croiser de ci de là, un cortège de nouveaux mariés suivi par les familles et les amis endimanchés aux beaux jours.
Les conseils du Petit Hergé :
Je vous recommanderai toujours d’aller vous promener dans le Rosedal de Buenos Aires, surtout à partir des beaux jours (à partir de fin septembre). Pour vous y oxygéner un peu si ça fait quelques jours que vous arpentez le damier des rues et avenues du centre de Buenos Aires et surtout pour vous faire découvrir que la ville comporte de très nombreux espaces verts.
De plus, le Rosedal est vraiment une des plus belles roseraies au monde, n’ayons pas peur d’employer les superlatifs ! En passant, sachez que celle de Bagatelle date de 1907, donc de 7 ans l’ainée de celle-ci. En France à cette époque Jules Gravereaux était l’expert le plus éminent en la matière (le propriétaire et le créateur de la première roseraie moderne au monde, la roseraie de La Hay les roses) et avec le paysagiste français Edouard André se lancent dans la création de son propre jardin puis participe à la création de celui de Bagatelle.
Si je vous parle de cela, c’est pour attirer votre attention sur le modèle parisien ou tout du moins français toujours à la mode en matière d’urbanisme, architecture mais aussi en matière de jardins, de paysagisme et de rhodologie (ouf, je l’ai placé).
Le Rosedal création de l’Argentin Benito Javier Carrasco est l’élève du paysagiste français Charles Thays. Carrasco est parti entre 1906 et 1908 pour deux ans de voyage aux Etats Unis mais surtout en Europe et lors de son passage à Paris a pu passer voir Bagatelle et la Hay les Roses.
Le Rosedal est ouvert tous les jours (sauf le lundi) de 10h à 18h (mais les portes ferment à 17h), l’entrée est gratuite, je vous rappelle qu’il est formellement interdit de marcher sur les pelouses, d’apporter de la nourriture et surtout qu’il ne faut rien jeter à terre. Les chiens y sont interdits. Le jardin ferme lorsqu’il pleut fort, lors des orages ou par vent fort.
Enfin le jardin est fermé 9 jours de l’année. Le 1er janvier (férié), le vendredi saint (une tradition), le 20 juillet (el Dia del amigo, et on évite ainsi les envies de pique-nique), le 21 septembre (la fête du printemps, même si celui-ci tombe le 20 ou le 22, ça évite aussi le pique-nique), le 08 novembre (le jour de l’employé municipal), les 24, 25 et 31 décembre (ça se comprend).
Comme toujours, n’hésitez surtout pas apporter votre pierre à l’article si vous vous apercevez d’un oubli, ou pire d’une erreur, en écrivant en dessous un commentaire, en prenant contact avec moi par mail à petitherge@hotmail.com ou sur FB : https://www.facebook.com/petit.herge
Enfin sachez que si vous désirez que je vous accompagne sur place pour visiter le Rosedal, c’est possible aussi !
Pour vous y rendre :
En métro : Station la plus proche "Plaza Italia" puis marcher 1.200 m (vous pouvez prendre le bus 67 ça rapproche)
En bus :
Le 67 si vous venez de l'Obélisque, de Recoleta ou de Belgrano
Le 130 si vous venez du Microcentro ou de San Telmo
Le 37 si vous venez de Congreso.
A voir aussi autour :
- Le jardin japonais (à 900 m).
- Le Planétarium (à 600 m)
- Paseo de la Infanta (à 300 m)
- Museo Silvori (à 100 m)
- Patio de esculturas (à 400 m)
- Eco-Parque (à 300 m)
- Palermo Nuevo (à 300 m)
- Hippodrome de Palermo (à 700m)