Mise à jour : 29 juin 2014. Catégorie : Photo d'un jour

Photo du jour : 02 juin 2014.

Cette photo a été prise le 02 juin 2014 à 11h du matin juste à l’intersection de la calle Moreno et de la calle Lima. A l’angle sur le local de la Pizzeria Ugi’s est monté un immense panneau d’affichage ou une photo de la dernière novela à la mode « Guapas » attire l’œil du passant.

Il faut dire que « Guapas » fait un tabac en ce moment, le premier épisode a été diffusé sur canal 13 le 17 mars 2014 et à raison de 4 épisodes d’une heure chacun par semaine. « Guapas » relate l’histoire en 2007 de 5 femmes entre 30 et 40 ans qui perdent toutes leurs économies déposées dans une banque lors d’une crise économique (inutile de rappeler qu’on fait allusion à la crise de 2001-2002). Elles ne se connaissent pas pourtant elles vont se rencontrer devant le siège de la banque dans un chaos et une émeute de clients furieux et ruinés. Quelques années plus tard en 2014, elles sont devenues amies et nous suivons leurs vies dans une Argentine plus actuelles, ou se mêlent les conflits sentimentaux, professionnels et économiques.

Une novela faite (comme la plupart) pour un public féminin, mais les hommes  s’y intéressent aussi puisque comme l’action de cette novela nous sommes en 2014 et l’Argentin se posent aussi  des questions sur son futur comme les personnages de cette fiction. Une sorte d’Argentine parallèle si proche de la réalité.

Nous sommes fin juin, voila que la novela est lancée depuis 3 mois. Nous en sommes à l’épisode 58 diffusé jeudi dernier. Les tournages ont lieu énormément en extérieur ce qui lui donne encore plus l’aspect d’un Buenos Aires authentique. Entre le tournage et la diffusion pas plus de 8 à 10 épisodes d’avance, le temps de pouvoir changer l’histoire en fonction de la réaction du public.

L’immeuble dans l’ombre à gauche est l’édifice du développement social de la Nation, anciennement nommé Edificio del Ministerio de Obras Publicas. Il date de 1934. Il fut inauguré en 1936 et en 2013-2014 a reçu un bon coup de peinture blanche qui la revigoré ! 

A lire dans le Petit Hergé :

    

 

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